Qal’at Subaiba/Nimrod (n.d.)

 

 

 

Localisation : aux pieds du mont Hermon/Jabal al-Shaykh, par l’actuelle route 99, à 6 km à l’ouest de Majdal al-Shams.

 

 

 

Réf :

Clermont-Ganneau (1888), p.241-262

Conder/Kitchener (1881), I, p.125-128 (plan et gravure de la tour T07)

Deschamps (1939), 146-174

Ellenblum (1989), p.103-112

Graboïs (1970), p.43-62

Meinecke (1992), 4/23

 

Amitai (2001), p.109-123

Berchem (1888), p.440-470

RCEA 4737

Sharon (1999), p.77-87

 

 

 

Historique

 

Périodes antérieures

La forteresse est située sur la route qui relie les villes du littoral de Acre, Tyr et Sidon à Damas elle repose sur un étroit éperon rocheux à l’extrémité est du Mont Hermon/Jabal al-Shaykh, à 820m d’altitude.

Le terme actuel de Qal’at Nimrod est une appelation des Druzes à la fin du 19e siècle, la forteresse est parfois citée, à tort, comme château de Banias[1]. Le plan de la forteresse suit le relief très accidenté du site entouré de profondes vallées surtout au nord, il s’étend sur 450m de long et de 60m à 160m dans sa plus grande largeur.

Le site se divise en trois parties : une citadelle à l’extrémité orientale juchée sur un monticule, un grand terrain ouvert entouré d’un mur et l’ensemble ouest comprennant les deux tours massives nord-ouest et sud-ouest (T11 et T09).

Le site est occupé par les Croisés en 1129-1132 et 1139-1164, ils ont peut être élévé un édifice[2]. La forteresse est, principalement, l’œuvre du sultan Ayyûbide al-‘Azîz ‘Uthman qui commence la construction vers 625/1227 et l’agrandie en 627/1230. La dernière campagne est celle du sultan Baybars (r. 17 dhu’l-qa’da 658/24.X.1260 – 27 muharram 676/30.VI.1277). 

 

Période Ayyûbide

Le sultan al-‘Azîz, pour le compte du sultan al-Mu’azzam ‘Isa (r.615/1218-624/1227), fait d’abord construire la citadelle sur le monticule est (T17-T21) avec son réservoir, ses propres murs et le fossé puis la partie basse avec son mur d’enceinte, une inscription permet de dater le début des travaux en 625/1227[3]. A partir de 627/1230, il agrandit la forteresse vers l’ouest avec l’élévation du front ouest et des deux tours nord-ouest et sud-ouest. Les inscriptions retrouvées sous les murs permettent de suivre l’évolution des travaux[4], il donne ainsi à la forteresse sa forme actuelle[5].

Une inscription mentionne une phase de travaux ou de finition en 637/1239 attribuée à Fakhr al-Dîn Hasan[6].

 

Période Mamluk

Au printemps 658/1260, la forteresse subit l’assaut des l’armées de Kitbugha, néanmoins les dégâts occasionés par la conquête apparaissent exagérés. A la suite, le dernier gouverneur ayyûbide de la citadelle al-Sa’îd Hasan ibn al-‘Uthman, est exécuté sur l’ordre du sultan al-Muzaffar Qutuz (r.24 dhu’l-qa’da 657/12.XI.1259 – 15 dhu’l-qa’da 658/22.X.1260) suite à sa collaboration avec l’armée Mongole.

Le sultan Baybars (r.17 dhu’l-qa’da 658/24.X.1260 – 27 muharram 676/30.VI.1277) donne la forteresse, Banias et ses environs à son émir Badr al-Dîn Bilîk al-Khazindâr al-Zâhirî. La forteresse perd ainsi son rôle de forteresse frontière qu’elle avait sous la dynastie précédente, toutefois elle reçoit beaucoup d’attention grâce au rang très élévé de son nouvel occupant, car Bilîk est aussi le na’îb al-sultana (vice-roi) du sultan. Ce territoire sera géré par Bilîk de manière quasi-autonome et avec la confiance du sultan jusqu’à sa mort en rabi’I 676/Août 1277.

Baybars visite le site en 667/1268, il est possible que le sultan donne alors des consignes pour rénover la forteresse, ces travaux sont mis en œuvre par Bilîk sous le contrôle de son émir Baktût al-Khazindâr, qui est nommé gouverneur de la forteresse. Cette campagne semble s’achever en 674/1275, date mentionnée sur les inscriptions de restaurations.

Les travaux concernent surtout les fronts sud et ouest :

Le front sud est équipé de quatre tours circulaires (T02, T05, T07, T16) qui sont insérées entre les tours quadrangulaires déjà existantes afin de renforcer les faiblesse du mur d’enceinte. Ces tours ont un diamètre de 10 à 18m, une base pleine, un parement à bossages, un seul étage et un toit plat servant de plate forme de tir, les salles intérieur présentent un plan hexagonal ou pentagonal. Chaque tour est connectée au mur d’enceinte par une galerie d’archères.

Le front ouest est renforcé par deux tours quadrangulaires (T09, T11) enchassant les anciennes tours ayyûbides.

La tour nord (T11) dite tour de Bilîk s’élève sur trois niveaux, elle possède son propre réservoir et un passage secret menant au front nord. Cette tour fait office de résidence fortifiée, avec une vue dégagée sur la ville de Banias et son territoire. Elle présente aussi certaines innovations architecturales. L’aménagement intérieur est aussi pensé pour rendre la vie quotidienne plus confortable, ainsi les latrines sont isolées dans les angles de la tour et connectées à un système d’évacuation des eaux usées. Les larges galeries servent aussi de lieu de vie et d’habitation pour la garnison.

Les parties fortifées du site sont donc assez bien connue, mais bien que le site soit bien préservé, il y a peu d’informations sur les bâtiments internes tels que les entrepôts, magasins, cuisine ou communs. Au sud-est de la forteresse on trouve un réservoir et un cimetière[7].

 

L’histoire de la forteresse après cette période est lacunaire, on sait seulement que des gouverneurs continuent à être nommés par les sultans successifs et qu’au 15e le site abrite une prison pour les émirs tombés en disgrâce.

Le site a été endommagé par les séismes de Novembre 1759[8] et Janvier 1837.

 

 

 

Epigraphie

 

625/1227-1228. Texte de construction 4 lignes (35x120), trouvé à l’ouest de la tour T01[9].

« Basmallâh. Has ordered the establishment of this blessed barbican our lord the sultan al-Malik al-‘Azîz ‘Imad al-Dîn, the sword of Islam, the crown of the kings, thesun of the sultans, Abû al-Fath ‘Uthmân ibn al-Malik al-‘Adîl, helper of the Commander of the Faithfull, seeking the nearness of Allâh, may He be exalted, in the year 625 (1227-1228) ».

 

 

627/1230. Texte de construction, 4 lignes (67x87), trouvé entre tour T02 et T03[10].

« (Basmallâh. Has ordered the building of this) divinely protected (frontier fortress) the sinning, erring servant, the needy (for his God’s mercy, al-Malik al-‘Azîz ‘Uthmân, son of our lord, the sultan) al-Malik al-‘Adîl, the scholar, the scholar ( ?), the doer of good deeds, (the warrior in the Holy War, the fighter on the border, the raider, the martyr, Abû Bakr ibn Ayyûb, may Allâh shelter him) with His grace (mercy). The beginning (of the building) of this divinely protected border fortress was in (the month of ? the year 627 (1230). Its building was supervised by the servant), the needy (for Allâh’s mercy), Abû Bakr ibn Nasrallâh ibn Abû Suraqâh (al-Hamadhanî or Hamadânî) al-‘Azizî) ».

 

 

627/1230. Texte de construction, 5 lignes (90x80), trouvé face à la tour T06[11].

« Basmallâh. (Has ordered the building of this divinely protected frontier fortress, the sinning), erring servant, the needy for his God’s mercy, (al-Malik al-‘Azîz ‘Uthmân, son of our lord, the sultan), al-Malik al-‘Adîl, the scholar, (the doer of good deeds, the warrior in the Holy War, the fighter on the border, the raider, the martyr, Abû Bakr ibn) Ayyûb, may Allâh shelter him (with His mercy. The begining (of the building) of this divinely protected border fortress was in the month of the year 627 (1230). (Its building was supervised by the servant, the needy (for Allâh mercy), Abû Bakr ibn Nasrallâh ibn Abû al-Hamadhanî or Hamadanî al-‘Azizî) ».

 

 

627/1230. Texte de construction 5 lignes (120x90) sur l’arche de la porte de la tour T11 (ill.43)[12].

« Basmallâh. Has ordered the building of this divinely protected frontier fortress, the sinning, erring servant, the needy for his lord’s mercy, ‘Uthmân, the son of our lord, the great sultan, al-Malik al-‘Adîl, the scholar, the doer of the good deeds, the warrior of the Holy War, the fighter on the border, the raider, the martyr, Abû Bakr ibn Ayyûb, may Allâh shelter him in His mercy. The beginning (of the building) of this felicitous tower was in the month of rabi’I, the year 627 (janvier-fevrier 1230). Its building was supervised by the servant, the needy (for Allâh mercy), Abû Bakr ibn Nasrallâh ibn Abû al-Hamadhanî or Hamadanî al-‘Azizî) ».

 

 

627/1230. Texte de construction 5 lignes (71x140) sur le mur ouest de la tour T10[13].

« Basmallâh. Has ordered the building of this divinely protected frontier fortress, the sinning, erring servant, the needyfor his Lord’s mercy, ‘Uthmân, the son of our lord, the great sultan, al-Malik al-‘Adîl, the worshiper, the doer of the good deeds, the warrior in the Holy War, the fighter on the border, the raider, the martyr, Abû Bakr ibn Ayyûb, may Allâh shelter him in His mercy, and havemercy on us when we reach his fate. The beginning (of the building) of this felicitous tower was in the first ten days of the month of rabi’II the year 627 (17-26.II.1230). its building was supervised by the servant, the needy (for Allâh mercy), Abû Bakr ibn Nasrallâh ibn Suraqa al-Hamadhanî al-‘Azizî) ».

 

 

627/1230. Texte de construction, 4 lignes (60x120), trouvé vers la tour T09[14].

« Basmallâh. (Has ordered the building of this) divinely protected frontier fortress, the sinning, erring servant, (the needy of) his lord’s mercy, al-Malik al-‘Azîz ‘Uthmân, the son of our lord, the great (sultan), al-Malik al-‘Adîl, the scholar, (the doer of the good deeds, the warrior in the Holy War, the raider, the martyr, Abû Bakr ibn Ayyûb, may Allâh shelter him with His grace (mercy). The beginning (of the building) of the divinely protected border fortress was in the month of xxx in the year  627 (1230). Its building was supervised by the servant, the needy (for Allâh’s mercy), Abû Bakr ibn Nasrallâh ibn Suraqa al-Hamadhanî or al-Hamadanî al-‘Azizî) ».

 

 

637/1239-1240. Texte de construction, 5 lignes (67x150) sur le mur mitoyen du réservoir SW (ill.70)[15].

« Basmallâh. This blessed place was renovated in the days of our lord, the sultan, the scholar, the just, the fighter in the Holy War, the confirmed (by Allâh), the victorious, al-Malik al-Sa’îd Fakhr al-Dîn Hasan, the son of our lord, the sultan, al-Malik al-‘Azîz ‘Imad al-Dîn ‘Uthmân ibn al-Malik al-‘Adîl Abû Bakr ibn Ayyûb, under the supervision of the great amir ‘Azîz al-Dawla Rayhân al’Azizî, and during the governorship of the amir Mubariz al-Dîn Khutluth al-‘Azizî in the month of the year 637 (1239-1240) ».

 

 

674/1275. Texte de construction 4 lignes en 5 blocs (600x135), aujourd’hui aux pieds de la tour T11 (ill.81-85)[16].

 « Basmallah. Cette tour bénie a été rénovée avec la générosité de notre seigneur le sultan, al-Malîk al-Zahîr, le plus majestueux maître, le savant, le juste, le combattant de la guerre sainte, le guerrier des postes frontières, le divin confirmé, le victorieux, Rukn al-dunya wa’l-Dîn, sultan de l’Islam et des Musulmans, tueur des déviants rebelles, restaurateur de la justice dans le monde, Abû’l-Fath Baybars al-Sâlihî, qui partage l’autorité avec le Commandeur des Croyants. A ordonné que cela soit fait, notre seigneur, l’honorable maître, le grand maître, le grand commandant (al-amirî al-kabirî), le Mamluk d’al-Zâhir et d’al-Sa’d, le plus glorieux, le plus félicité, l’éxalté, le bien servi (al-makhdumî), al-Badrî Badr al-dunya wa’l-Dîn, la gloire de l’Islam et des Musulmans, le chef des armées des monothéistes, le roi des commandants dans le monde, Bilik, le (Mamluk d’) al-Malîk al-Zâhir et (al-Malîk) al-Sa’d, puisse Dieu perpétuer sa vie. Ceci durant le gouvernement du grand commandant Badr al-Dîn Baktut (et) sous le commandement de l’architecte en chef ‘Alam al-Dîn Sanjâr, le grand combattant durant la guerre sainte, et sous la supervision du maître d’œuvre, l’architecte ‘Abd al-Rahman, et l’approbation du maître d’œuvre ‘Abd al-Wahhâb. (Cecia été fait) le 20 (22 ?) du mois de muharram de l’année 674 (18.VII.1275). Inscription de Yûsuf ».

 

 

674/1275. Fragment de texte de construction 3 lignes (50x20), trouvé dans la tour T15[17].

 « Basmallah. De ce qu’a ordonné de faire, (l’honorable maître, le noble, le grand seigneur, le grand émir), le bien servi, al-Badrî (Badr al-dunya wa’l-Dîn Bilik, le Mamluk d’al-Malîk al-Zâhir…) ».

 

 

674/1275. Fragment de texte de construction 2 lignes (110x700) trouvé au SW de la tour T09[18].

« (Basmallah. De ce qu’a ordonné de faire l’honorable maître), le noble, le seigneur, le grand souverain, (le grand émir …. le support des rois et) des sultans, le bras droit du Commandant des Croyants, (puisse Allâh perpétuer sa vie) ».

 

 

674/1275. Texte de contruction en 6 fragments (70x90m, 54x115, 54x80, 54x140, 54x80, 54x66) trouvé dans le fossé vers la tour ronde T16 et aujourd’hui déposé vers la tour T10 (ill.76-80)[19].

 « (… a ordonné) la construction de cette (tour bénie, notre seigneur le sultan, al-Malîk al-Zâhir, le savant, le juste), le combattant des postes frontières, le divinement confirmé, le victorieux, (le pilier du monde et de la religion), le sultan de l’Islam (et des Musulmans), le vainqueur des déviants (et des rebelles … Abû al-Fath Baybars al-Sâlihî… ?) ».

 

 

 

Biblio complémentaire

Amitai-Preiss (1997), p.3-5

Pringle (1993), p.108

Pringle (1997), p.30

Sharon (1997)

Sharon (1999), p.57-87

Amitai (2001), p.109-123

Hartal (2001)

Dotti (2007), n°12

al-Halabi (2006)

Yovitchitch (2007), p.543-557

Raphael (2010), p.134-146

Hinzen (2016), p.751-764

Margalit (2018), p.1-12

Badichi/Bron (2022)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

1/ plan générale

2/ plan des différentes phases de construction

3/ vue générale du site

4/ vue du site depuis la route d’accès

5/ vue du site depuis la route d’accès

 

 

 

 

 

 

 

 

6/ vue du front sud-est depuis la route

7/ front sud-est avec les tours T01 et T16

8/ partie droite du front sud-est avec la tour T16

9/ partie centrale du front sud-est

10/ partie gauche du front sud-est avec la tour T01

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

11/ front sud depuis la route

12/ une partie du front sud

13/ front sud avec la tour sud-ouest T09

14/ front sud avec la tour T07

15/ tour T07

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

16/ couronnement de la tour T07

17/ maçonnerie de la tour T07

18/ tour T07 avec le raccord au mur d’enceinte

19/ tour T08 depuis la route d’accès

20/ vue est de la tour sud-ouest T09

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

21/ tour T09 face sud

22/ archères de la face sud de la tour T09

23/ tour T09 depuis le sud-ouest

24/ plan de la tour T09

25/ tour T09 face ouest

 

 

 

 

 

 

 

 

26/ tour T09 face ouest

27/ tour T09 et T10

28/ front ouest avec T09

29/ tour T09 depuis le nord

30/ vestiges de la tour T10

 

 

 

 

 

 

 

 

31/ front ouest depuis tour T09

32/ front ouest avec tour T11

33/ tour T11 depuis le sud

34/ tour T11

35/ tour T11 depuis l’ouest

 

 

 

 

 

 

 

 

 

36/ plan de la tour T11

37/ plan et section de la tour T11

38/ plan et élévation de l’accès

39/ reconstitution de la tour T10

40/ plan du front ouest et des tours T09, T10 et T11

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

41/ rampe d’accès de la tour

42/ accès principal dans la tour T11

43/ accès principal et inscription de construction datée 627/1230

44/ accès coudé à la forteresse

45/ tour T12 depuis l’ouest

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

46/ salle de la tour T12 vers l’ouest

47/ vue du front nord depuis l’accès

48/ vue de l’intérieur de la forteresse vers l’est

49/ vue de la citadelle d’orgine à l’extrême est

50/ les tours T20 et T19

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

51/ vestiges sur le front nord

52/ vue du front sud depuis la citadelle

53/ vue du front ouest depuis la citadelle

54/ vue de la tour T09 depuis la citadelle

55/ vue de la tour T16 depuis la citadelle

 

 

 

 

 

 

 

 

56/ vue de la tour T15 depuis la citadelle

57/ vue intérieure de la citadelle entre T19 et T20

58/ courtine sur le front sud

59/ salle de la courtine entre T04 et T05

60/ salle sur le front sud

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

61/ courtine entre T05 et T06

62/ accès à la tour T07

63/ intérieur de la tour T07, côté gauche

64/ intérieur de la tour T07, côté droit

65/ pilier central de la salle dela tour T07

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

66/ vue du front sud vers T08

67/ le front sud depuis la tour T08 et la poterne

68/ vue du front sud depuis T08

69/ fontaine et inscription vers le réservoir et la tour T09

70/ inscription de construction sur la fontaine datée 637/1239

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

71/ coupe de la tour T09

72/ couloir menant à la tour T09

73/ salle de la tour T09

74/ salle de la tour T09

75/ face sud de la tour T10 avec les fragments d’inscription et les 2 lions de Baybars

 

 

 

 

 

 

 

 

76/ vue des fragments de l’inscription de construction datée 674/1275

77/ vue des fragments de l’inscription

78/ détail des blocs inscrits

79/ détail du début de l’inscription

80/ détail du bloc isolé

 

 

 

 

 

 

 

 

81/ vue des fragments de l’inscription de construction datée 674/1275

82/ vue des fragments de l’inscription de construction datée 674/1275

83/ détail du début de l’inscription

84/ détail d’un bloc inscrit

85/ détail de la fin de l’inscription

 

 

 

 

86/ bassin au sud-est de la forteresse

 

 

 

 

 

Documents anciens

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Plan de la forteresse dressé par le Survey of Western Palestine (1881)

Vue de la forteresse depuis l’est (T01 et T16)

Source : Wilson (1881)

Vue de la forteresse depuis l’ouest avec le front sud et la citadelle

Source : Wilson (1881)

 

 

 

 

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[1] Sur cette question, cf. Graböis (1970), p.43-62.

[2] La forteresse est située non loin de la ville de Banias, anciennement Panéas. Sur la ville de Banias, cf Graboïs (1970), p.43-62, Clermont-Ganneau (1888), p.241-262 et Hartal (2002), p.89-103 pour le système d’aqueduc.

[3] Voir texte, in Sharon (1999), n°5, RCEA 3984 et Amitai (1989), p.113-119.

[4] Voir texte, in Sharon (1999), n°6, 7, 8, 9, 10.

[5] Pour suivre les travaux Ayyûbide, cf Ellenblum (1989), p.103-112, Sharon (1999), p.63-75.

[6] Voir texte, in Sharon (1999), n°11, RCEA 4168.

[7] Rapport de fouilles, in Badichi/Bron (2022).

[8] cf Hinzen (2016), p.751-764 et Margalit (2018), p.1-12, plusieurs études expliquent l’impact d’un séisme sur les éléments architecturaux d’une fortification.

[9] Texte d’après Sharon (1999), n°5.

[10] Texte d’après Sharon (1999), n°6.

[11] Texte d’après Sharon (1999), n°7.

[12] Texte d’après Sharon (1999), n°8.

[13] Texte d’après Sharon (1999), n°9.

[14] Texte d’après Sharon (1999), n°10.

[15] Texte d’après Sharon (1999), n°11.

[16] Texte d’après Sharon (1999), n°12. Voir aussi (Amitai (2001), p.109-123.

[17] Texte d’après Sharon (1999), n°13. Voir aussi Amitai (2001), p.118.

[18] Texte d’après Sharon (1999), n°14. Voir aussi Amitai (2001), p.118.

[19] Texte d’après Sharon (1999), n°15. Voir aussi Amitai (2001), p.119.