Mur d’enceinte et tours de Damas

 

 

 

Localisation : mur d’enceinte entourant la ville intra-muros sur environ 4,5km avec de nombreuses interruptions et huit portes[1].

Visite en : 2003, 2006, 2008, 2009.

 

 

 

Réf :

Aigle (2003), p.57-85

Braune (1999), p.67-85

Braune (2000), p.180-187

Chevedden (2000), p.71-116

Degeorge (1997)

Guo (1998)

Hage (2000)

Humphrey’s (1977)

Korn (2004), n°37, 49, 124, 125, 126, 216 (n°11 ancienne porte)

Meinecke (1992), 9B/7, 9C/152, 9C/238, 24B/5, 24B/8

Mouton (1994)

Sack (1989), 1.14, 1.50, 2.16

Sauvaget (1932b)

Sauvaget (1949), p.314-358

Will (1994), p.1-43

Wulzinger & Watzinger (1924), D6.1, I7.3

 

Mouton/Guilhot (2018), n°12, 13, 21, 24

Oppenheim/Berchem (1913), n°192

RCEA 3955, 5291, 4198, 4282

 

 

 

Historique

 

Périodes antérieures

Le rempart antique, constitué de gros blocs encore visibles, était percé de sept portes toutes dédiées à une divinité, certaines portes actuelles sont des portes antiques constamment modifiées (Bâb Sharqî et Bâb al-Jabîya par exemple)[2].

Aux premiers siècles de l’Islam, le mur d’enceinte connaît des destructions et des restaurations continues, mais difficiles à prouver par manque d’indices. La ville retrouve une certaine grandeur avec les Seljukîdes, ce qui entraine son développement et son extension au-delà de ses murs[3].

En 549/1154 Nûr al-Dîn (r.541/1146-569/1174) entre dans la ville et entreprend de nombreux travaux de restaurations afin de réparer les dégâts consécutifs au séisme de 535/1140 qui a secoué la région, et au siège croisé de 543/1148. Il commence par améliorer les défenses de la ville, en renforçant les points faibles, en murant certaines portes, et en dotant le mur d’enceinte de tours (burj) semi-circulaires à base carrée. Un exemplaire de cette tour, datée 569/1173 est bien conservée sur le front ouest[4], elle est caractéristique des travaux de Nûr al-Dîn sur le rempart de Damas, il reste plusieurs autres exemplaires en mauvais état le long du mur sud-ouest et est[5].

Ainsi entre 549/1154 et 569/1174 le système défensif de la ville est entièrement repensé avec, en plus, l’ajout de barbacanes (bashura) à l’avant de certaines portes[6], et l’extension du front nord jusqu’au Barada. Cette extension semble confirmée par le nom du quartier Harât Bain al-Surain, ‘entre les deux remparts’.

 

Période Ayyûbide

Après Nûr al-Dîn, Saladin (r.564/1169-589/1193) et ses successeurs Ayyûbides entreprennent des travaux de restaurations et de modernisation du système de défense de la ville. Saladin généralise aussi l’usage des machines de jet (trébuchet)[7] comme élément de défense supplémentaire de la ville.

Si le sultan Ayyûbide al-‘Adîl (r.592/1196-615/1218) se concentre essentiellement sur la citadelle, il fait aussi élargir le fossé (khandâq) et construire un avant mur (fasil) qui est avéré par plusieurs inscriptions[8]. La plupart des portes sont encore modernisées sous le sultan al-Mu’azzam Isâ (r.615/1218-624/1227) et le sultan al-Nâsir Dâwûd (r.624/1227-635/1237). Elles sont équipées de bretèches, de machicoulis et de herses[9]. Le rempart (sûr) est aussi concerné par une série de travaux de renforcement[10]. Au même moment, des tours rectangulaires sont élevées a des points stratégiques du mur d’enceinte, une de ces tours a été retrouvée au sud-est[11], elle est datée par une inscription du sultan al-Mu’azzam Isâ ; l’autre, dite ‘tour al-Sâlih Ayyûb’, se dresse à l’angle nord-est, elle est datée par une inscription de 646/1248[12]. Cette dernière se présentait, avec ses éléments défensifs et sa plate-forme pouvant accueillir des machines de jet, comme un outil de défense très moderne pour l’époque.

D’autres destructions sont mentionnées suite à l’attaque des Khwarizmiens, en 643/1245. Pendant le siège de la ville ils ont bombardés, avec des machines de jet, la partie sud-ouest de l’enceinte entre Bâb al-Jabîya et Bâb al-Saghîr.

 

Période Mamluk

Déjà bien réorganisé par les Ayyûbides, le mur et les portes de l’enceinte ne font pas l’objet de tant d’attention de la part des Mamluk. Ceux-ci se contentent de réparations de fortune, suite, notamment, aux violentes attaques extérieures des Mongoles (658/1260 et 699/1300) et surtout de Timur (800/1403).

La première attaque mongole a lieu en 658/1260, la citadelle est bombardée avec des machines de jet qui utilisent les pierres de la muraille endommagée comme munitions. Des restaurations de portes et de la muraille ont aussi lieu, plus tard, sous le sultan al-Zâhir Baybars (r.17 dhu’l-qa’da 658/24.X.1260-27 muharram 676/30.VI.1277).

Après la deuxième attaque mongole d’Ilkhân Ghazan en 699/1300, le sultan al-Nâsir Muhammad (2e règne de 6 jumada I 698/9.II.1299 – 22 shawwal 708/4.IV.1309) ordonne la réparation du mur, la tour élevée par Nûr al-Dîn sur le front ouest est réparée en 710/1310. 

Pendant le long règne du gouverneur Saif al-Dîn Tankiz (de rabi’II 712/août 1312 à fin 741/juin 1340), d’importants travaux de restaurations et d’assainissements sont réalisés : en 723/1323 mention d’un renforcement du mur entre Bâb al-Jabîya et Bâb al-Saghîr, la contrescarpe ayyûbide est transformée en mur d’enceinte secondaire (des sources mentionnent le toponyme Bain al-surain, ‘entre les deux murs’, situé dans le quartier). A partir de 729/1329 des travaux de voirie permettent de dégager les rues longeant la muraille ouest et sud-ouest, ses travaux se terminent en 735/1334.

La tour Nûr al-Dîn, déjà restaurée en 710/1310 sous al-Nâsir Muhammad, subit de nouvelles réparations sous le sultan al-Sâlih Hajjî (2e règne du 6 jumada II 791/2.VI.1389 – 14 muharram 792/2.I.1390) en 792/1389.

En 795/1391 la révolte de Mintash, sous le règne du sultan al-Zâhir Barqûq (2e règne 14 muharram 792/2.I.1390 – 15 shawwal 801/20.VI.1399) qui occupe le front ouest du mur d’enceinte, entraîne de nouveaux dégâts sur le mur.

La troisième grande attaque extérieure, celle de Timur en 803/1401, entraine des dommages sans précédents, le front nord réorganisé par Nûr al-Dîn, connaît une phase de restaurations qui s’étendrait aussi jusqu’au front ouest.

Des restaurations du mur d’enceinte sont aussi mentionnées en 903/1497 et 910/1514 sans plus de détails. On note aussi la présence d’un décret, peu lisible et non daté, gravé sur un bloc de la portion nord-est du mur, vers Bâb Tûmâ (W18.3 sur le plan, ill.32).

On trouve également des édifices renforcés et percés de meurtrières qui servaient à la protection des portes et courtines, notammant sur le front N le long de la Barada, ils sont qualifiés de moulins fortifiés, non datés avec précision, ils dateraient du Moyen Age. Actuellement deux sont connus : le premier vers Bâb al-Salâm sur le cour du fleuve ; l’autre est couplé à Bâb al-Faraj, il a servi de fortification d’angle et de lien avec le mur qui joignait le mur d’enceinte de la ville à la tour nord-est de la Citadelle.

 

Travaux récents 

Aujourd’hui le mur d’enceinte est noyé dans les constructions modernes et sert aussi de fondations aux bâtiments modernes, il reste néanmoins de nombreuses parties visibles au nord, est et sud-ouest notamment, d’autres portions sont connues mais difficiles à étudier.

Des fouilles récentes ont permis de retrouver et d’identifier de nouvelles portions du mur, ainsi les fouilles allemandes en 1999 et syriennes en 2004-2005 ont permis de retrouver une partie du mur d’enceinte au sud-est, et un sondage a été réalisé en 2009 à la base des tours au nord-est de l’enceinte[13]. Une étude complète sur la muraille et les portes est parue en 2018[14].

 

 

 

Epigraphie

 

564/1168. Texte de construction, 5 lignes (130x62) sur tour Nûr al-Dîn sud-est (ill.2-5)[15].

« Basmallâh. L’aménagement de celte tour bénie a été ordonné par notre maître al-Malîk al-‘Adîl, le combattant du jihâd, Nûr al-Dîn Abû’l-Qasîm Mahmud ibn Zankî ibn Aq Sunqur  - que Dieu double sa récompense et lui pardonne ainsi qu’à ses parents le Jour du Jugement – dans le désir d’être agréable à Dieu et de se rapprocher de lui, en l’année 564 (1168) ».

 

 

569/1174. Texte de construction 3 lignes (100x45) sur la tour Nûr al-Dîn (ill.2-5)[16].

« Basmallâh. La fondation de cette tour bénie a été ordonnée par celui qui a besoin de la Miséricorde de son Seigneur, Mahmûd ibn Zankî ibn Aq Sunqur dans la recherche de la récompense de Dieu en l’année 569 (1173) ».

 

 

n.d. Bab Shaghûr, texte de restauration au-dessus de la porte[17].

« Basmalla. A ordonné de renouveler cette porte, le rempart et le fossé béni notre maître, le sultan al-Malik al-Mu’azzam, le conquérant, le champion de la foi, Sharaf al-dunya wal-dîn, le sultan de l’islam et des musulmans, le vivificateur de la justice dans les mondes, ‘Isa, fils du maître le sultan al-Malik al-‘Adîl Saif al-Dîn Abu-Bakr, fils d’Aiyûb, - que Dieu éternise sa royauté ! – par repentir envers Dieu, sous la direction du serviteur qui a besoin de la miséricorde de son Maître, Muhammad, fils de Karsak, al-Mu’azzamî, xxx ».

 

 

av.618/1221. Texte de construction, 6 lignes (55x45), d’un édifice remployé dans la courtine entre Bâb al-Faraj et Bâb al-Faradis[18].

« … le sultan al-Malik [al-Mu’azzam Sharaf al-dunya wa’l-dîn ‘Isa] ibn al-Malik al-‘A[dîl Sayf al-dunya wa’l-dîn] sultan de l’Islam et des Musulmans sous [la direction] de l’esclave avide de la miséricorde de Dieu le très haut al-Hajj Khalâf ibn Dirgham ibn Khalifa [al-Mu’azzamî] ».

 

 

623/1226. Texte de construction 7 lignes (138x78) entre Bâb Sharqî et Bâb Kisan, conservé au Musée National (ill.43)[19].

« Basmallâh. Le creusement de ce fossé et la construction de ses murs ont été ordonnés par notre maître le sultan al-Malîk al-Mu’azzam, le savant, le juste, Sharaf al-dunya wa’l-dîn, sultan de l’Islam et prince des Musulmans, le vivificateur de la justice dans les mondes, ‘Isa fils de notre maître le sultan, le martyr, al-Malîk al-‘Adîl Sayf al-Dîn Abî Bakr ibn Ayyûb – que Dieu fasse durer son règne – pour se rapprocher de Dieu le Très Haut et obtenir sa satisfaction, sous la direction du serviteur avide de la miséricorde de son seigneur Muhammad ibn Qarsaq al-Mu’azzamî et cela en l’année 623/1226 ».

 

 

646/1248. Tour T16 dite ‘al-Sâlih Ayyûb’ (X18.3), texte de construction 4 lignes (80x45) sur une dalle (ill.25)[20].

« Basmallâh. Cela fut fait sous le règne de notre maître le sultan al-Malîk al-Sâlih Najm al-dunya wa’l-dîn Ayyûb, sous la direction de son pauvre serviteur Mubarak al-Awhadî et cela en l’année 646 (1248) ».

 

 

699/1299. Texte de construction de la tour T01 ‘Nûr al-Dîn’ au sud de Bâb al-Jabîya (Q21.4), bandeau 4 lignes (ill.2-5)[21].

« Basmallâh. Cette tour bénie a été remise en état, après son effondrement, sous le règne de notre maître le sultan al-Malîk al-Nâsir Nâsir al-dunya wa’l-dîn Muhammad, fils du sultan al-Malîk al-Mansûr Sayf al-dunya wa’l-dîn Qala’ûn en 699 (1299) par la volonté de son altesse élévée Jamal al-Dîn Aqqûsh al-Afram, gouverneur du sultanat magnifié à Damas la bien gardée, sous la supervision de l’esclave avide de la miséricorde de Dieu le Très Haut Ahmad ibn ‘Abd al-Salam, sous la direction de l’esclave avide de la miséricorde de son seigneur Ibrahîm al-Mutawallî ».

 

 

n.d. Décret 7 lignes (120x60) gravé à 60m à l’ouest de Bâb Tûmâ (W18.3)[22] (ill.32).

« Basmallâh. A la date du … [en l’année] 8xx a été promulgué le décret du sultan juste al-Malîk al-Zâhir Abû Sa’îd Khushqadam – que Dieu fasse durer son règne – abrogeant ce qui pesait sur les peaussiers … ainsi que la vente forcée du sucre et du … et du … et que ces exactions soient supprimées et qu’il n’en subsiste rien (au détriment de ceux qui supportaient) l’injustice. Maudit et fils de maudit qui changera cela ou le supprimera … quiconque rétablira cela … quiconque renouvellera cela conformément aux nobles et augustes décrets … qui sont entre Bâb al-Salam et Bâb Tûmâ, en fonction de ce qu’auront témoigné les musulmans … ». 

 

 

 

Bibliographie complémentaire :

Chevedden (2004), p.227-278

Amitai (2006), p.21-45

Dabbour (2006)

Dayoub (2006)

Massoud (2007)

Braune (2008), p.202-211

Mouton/Guilhot (2010), p.39-50

Dabbour (2012), p.23-41

Dayoub/Mouton (2012), p.185-203

Mouton/Guilhot (2012), p.91-107

Mouton/Guilhot (2018)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

1/ plan de la ville intra-muros avec tracé de l’enceinte et localisation des tours

2/ la tour T01 dite Nûr al-Dîn

3/ la tour T01

4/ la tour T01 et l’inscription datée 699/1299

5/ la tour T01 et ses inscriptions 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

6/ plan et élévation de la tour T01

7/ vue de la section de l’enceinte au sud-est vers Bâb Kisan

8/ plan de la section de l’enceinte vers Bâb Kisan

9/ vue de la section sud-est vers Bâb Kisan depuis l’est

10/ vue de la section sud-est vers Bâb Kisan depuis l’ouest

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

11/ la tour T09 dite Nûr al-Dîn sud-est

12/ / la tour T09

13/ / la tour T09 avec son inscription

14/ l’inscription de construction datée 564/1168 de la tour T09

15/ la tour T09

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

16/ une tour semi-circulaire au sud-est de l’enceinte

17/ section de l’enceinte au sud-est après Bâb Kisan

18/ section de l’enceinte au sud de Bâb Sharqî

19/ section de l’enceinte au nord de Bâb Sharqî

20/ section de l’enceinte au nord de Bâb Sharqî

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

21/ section de l’enceinte au nord-est

22/ plan et élévation de la tour T16 dite al-Salih Ayyûb

23/ la tour T16

24/ la façade de la tour T16

25/ l’inscription de construction datée 646/1248 sur la tour T16

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

26/ la façade est de la tour T16

27/ le sondage effectué aux pieds de la tour T16

28/ section de l’enceinte nord-est après la tour T16

29/ section de l’enceinte nord-est après la tour T16

30/ le sondage effectué aux pieds d’une tour sur la section nord-est de l’enceinte

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

31/ section de l’enceinte nord-est

32/ le décret non daté à l’ouest de Bâb Tûmâ

33/ section de l’enceinte entre Bâb Tûmâ et Bâb al-Salam

34/ section de l’enceinte entre Bâb Tûmâ et Bâb al-Salam

35/ section de l’enceinte entre Bâb Tûmâ et Bâb al-Salam

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

36/ section de l’enceinte nord le long de la Barada

37/ section de l’enceinte nord le long de la Barada

38/ section de l’enceinte nord le long de la Barada

39/ section de l’enceinte nord le long de la Barada

40/ section de l’enceinte nord entre Bâb al-Salam et Bâb al-Faradis

 

 

 

 

 

 

 

 

 

41/ section nord de l’enciente vers Bâb al-Faraj

42/ plan d’une tour semi-circulaire

43/ l’inscription datée 623/1226 conservée au Musée National

 

 

 

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[1] Les portes font l’objet de fiches séparées.

[2] Sur le tracé antique de l’enceinte de Damas, voir Sauvaget (1949), p.314-358, Will (1994), p.1-43.

[3] Sur la période Seljukîde de Damas, voir Mouton (1994).

[4] Aujourd’hui elle se trouve dans la cour d’un commerce au n°32 de l’actuelle rue Darwishiye, au sud de Bâb al-Jabîya. Voir l’inscription de construction sur la porte (RCEA 3308). 

[5] Voir aussi les inscriptions in Mouton/Guilhot (2018), n°7, 8, 9, 10.

[6] Deux barbacanes sont avérées : à Bâb al-Jabîya par une inscription (RCEA 3263), et à Bâb Sharqî par des photographies et gravures du 19e siècle, voir el-Hage (2000), Lortet (1884), Braune (1999), p.67-85 et Félix Bonfils notamment.

[7] Pour les machines de guerre, voir les travaux de Chevedden (2000), p.71-116 ; et (2004), p.227-278, pour la poliorcétique au temps de Saladin, voir Michaudel (2009), p.245-273.

[8] Voir Korn (2004), dam n°37, 49.

[9] Voir Humphrey’s (1977) pour le contexte historique et Korn (2004) pour les restaurations ayyûbides.

[10] Voir Korn (2004), dam n°124.

[11] Voir Korn (2004), dam n°125 et les résultats des fouilles dans Dabbour (2006) et Dayoub (2006).

[12] Voir Korn (2004), dam n°216, RCEA 4198, 4282.

[13] Voir Braune (1999), p.67-85 ;  Braune (2000), p.180-187 ;  Braune (2008), p.202-211.

Dabbour (2006), Dayoub (2006) pour les fouilles de 2004-2005.

Mouton/Guilhot (2010), p.39-50 pour les sondages de l’été 2009. 

[14] Mouton/Guilhot (2018).

[15] Texte d’après Mouton/Guilhot (2018), n°8.

[16] Texte d’après Mouton/Guilhot (2018), n°9.

[17] Texte d’après RCEA 3955.

[18] Texte d’après Mouton/Guilhot (2018), n°12.

[19] Texte d’après Mouton/Guilhot (2018), n°13.

[20] Texte d’après Mouton/Guilhot (2018), n°21.

[21] Texte d’après Mouton/Guilhot (2018), n°24.

[22] Texte d’après Mouton/Guilhot (2018), n°29.